Avec les certificats auto-signés (self-signed), sans autorité de certificats, les erreurs "x509: certificate signed by unknown authority" tombent dès utilisation de lignes commandes pour des besoins très spécifiques (curl…). Il est tout à fait possible de créer sa propre petite autorité de certificats (CA) pour des certificats auto signés afin de ne pas devoir utiliser les options qui désactivent la vérification complète de la chaîne SSL jusqu’à l’autorité de certificats (curl --insecure, influx --skip-verify…).

Dans la plupart des langages de programmation, il est pratique d’utiliser les paramètres régionaux (locales) pour afficher des nombres, des dates… Les paramètres régionaux évitent le développement de fonctions pour formater les données. L’inconvénient majeur : les paramètres régionaux disponibles dépendent de l’OS. Si le paramètre régional demandé n’est pas installé sur l’OS hébergeant le programme, le formatage échoue ou revient à des paramètres par défaut. Un rapide survol des paramètres régionaux sur Ubuntu : installation, modification temporaire ou permanente.

Sur les serveur Ubuntu, ufw (Uncomplicated Firewall) est un bon outil pour appliquer des règles de parefeu sur les ports sans avoir à utiliser les commandes iptables qui sont assez difficiles, mais ce n’est pas suffisant pour protéger le port 22 des services SSH. Fail2Ban est l’outil complémentaire à ufw afin de protéger un système Ubuntu des attaques sur SSH. Fail2Ban est un package Python qui interagit comme ufw avec iptables et il peut être installé dans un environnement virtuel Python.

Les trois premières étapes à réaliser pour sécuriser son nouveau serveur Ubuntu, dans le cloud ou pas :

• Modifier le port par défaut pour les connexions SSH.
• Désactiver les accès directs en SSH avec le compte root.
• Activer le parefeu ufw (Ubuntu Uncomplicated Firewall) en autorisant les connexions entrantes SSH.

Dans un contexte où SSH s’exécute sur un port différent de celui par défaut, comment activer pour la première fois ufw en toute sécurité en autorisant les connexions SSH ? Dans de nombreux articles, le lecteur est averti d’être prudent lors de l’activation d’ufw mais sans mentionner la commande ufw show added, cette commande garantissant qu’il n’y a pas d’erreur humaine avant l’activation d’ufw, erreur humaine qui peut couper les connexions SSH existantes sans possibilité d’en établir de nouvelles autrement qu’en sollicitant le fournisseur (cloud) ou en accédant physiquement au serveur.

Pour coder, vim est un excellent outil sur les systèmes Linux, mais quand on est habitué à utiliser sur Windows l’outil Active State Komodo Edit notamment pour ses fonctionnalités de définitions de projets, workspaces… on peut vouloir exécuter Komodo Edit sur Ubuntu et transférer l’interface graphique sur son client Windows 10. Active State Komodo Edit peut être installé et exécuté sur un système Ubuntu et l’interface graphique transféré vers un client Windows 10 grâce au "X11 forwarding". Les prérequis et l’installation sont assez simples.

Lorsque les bureaux graphiques ne sont pas installés sur un serveur Ubuntu, les interfaces graphiques sont cependant parfois nécessaires et doivent être transmises et affichées sur les machines clientes. On peut citer en exemples :

• Les programmes d’installation assez complexes (Oracle…), la version graphique étant souvent préférée aux installations en mode console et/ou installations silencieuses.
• Exécuter Android studio sur le serveur Ubuntu, plus puissant, plutôt que sur la machine cliente qui ne possède pas les pré-requis matériels (mémoire, CPU…) nécessaires à son installation.

Très peu d’étapes à suivre sur Ubuntu 18.04 et le client Windows 10 pour la mise en œuvre de cette mécanique.

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Guide rapide de la compilation et de l'installation d'Apache 1.3.23 sous Linux

Guide rapide de la compilation et de l'installation de MySQL 3.23.49 sous Linux

Fiche technique sur la compilation de Php v 4.2.0 sous Linux avec intégration des fonctionnalités de Sybase Adaptive Server Enterprise v 12.5 et sur l'installation de PhpMyAdmin 2.2.3

Services sous Linux : niveaux de démarrage, arrêt, statut… Cas concrets avec les services Apache et MySQL.